CDI du collège Nicolas Conté

Les élèves de l'atelier culturel ont filmé, pendant les dernières sessions du collège ouvert, quelques scènes sur les thèmes des films d'horreur et de la gymnastique. Ce ne sont pas vraiment des films, mais plutôt des essais autour d'un cadre narratif. Réflexion sur le cadrage, choix des plans, jeu des acteurs, montage : les enfants ont été sensibilisés à l'envers du décor. Surtout, ils ont passés un bon moment de rigolade. C'est pour cela que le montage réserve quelques surprises... Après tout, c'était les vacances !

Pour voir "La faim des zombies" et "La compèt" , il vous suffit de passer au CDI .

 

Le doc'.

Les élèves de l'atelier culturel ont eu un programme chargé lors des dernières vacances. Le 20 décembre, ils ont en effet visité la nouvelle exposition au Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne, "les Iles jamais trouvées", et ont réalisé des travaux en relation lors d'un atelier créatif : ils devaient modifier un paysage à l'aide d'images découpées dans des magazines usagés puis, après les avoir photographiés, ils pouvaient s'ils le désiraient retravailler dessus. Ils ont fait preuve de beaucoup d'imagination et d'humour dans certains cas, comme vous pourrez le constater sur le blog du CDI.

Au retour, ils ont pu apprécier la collection de jouets Gégé au Musée Alice Taverne de Montbrison.

Le lendemain, quelques élèves ont réalisé le plus long roman-photo de l'histoire de l'Ecole Ouverte ! Bourrée d'effets spéciaux, cette production visuelle est un peu faible au niveau des textes par manque de temps. Les élèves ont particulièrement travaillé sur les logiciels de retouche photographique pour ajouter les effets nécessaires à cette histoire inspirée des Mangas. Nous vous invitons cependant à  découvrir  "Mission Invasion" sur ce blog car l'essentiel est dans les combats ! C'est très facile à comprendre !

 

Cette année, vingt-trois élèves de la 6è à la 4è ont dessiné en groupes sept mangas. Ils se sont réunis au CDI dans le cadre de l'accompagnement éducatif une heure chaques semaines. Deux enseignants, une de français et le documentaliste, les ont encadrés. Enfin, nous avons bénéficié du précieux soutien d'un illustrateur roannais, Franck Perrot, pour dix séances. J'en profite pour remercier la COPLER, collectivité locale,  qui a subventionné sa venue. En juin, les planches ont été exposées au foyer des élèves pour la fête du foyer.

Pour voir les planches cliquez sur les liens:

Cette année, vingt-trois élèves de la 6è à la 4è ont dessiné en groupes sept mangas. Ils se sont réunis au CDI dans le cadre de l'accompagnement éducatif une heure chaques semaines. Deux enseignants, une de français et le documentaliste, les ont encadrés. Enfin, nous avons bénéficié du précieux soutien d'un illustrateur roannais, Franck Perrot, pour dix séances. J'en profite pour remercier la COPLER, collectivité locale,  qui a subventionné sa venue. En juin, les planches ont été exposées au foyer des élèves pour la fête du foyer.

Pour voir les planches cliquez sur les liens:

Adeline, Fanny, Ingrid, Mélanie, Morgane et Typhaine

Adryan, Angélique, Carolyne, Katel

Anais, Audrey, Mélanie

Anais et Léa

Anthony, Judicael, jordan, Nathan, Théo

Arnaud, Clément, Constant et Rémi

 

Un phénomène culturel incontournable

Les mangas  représentent en France 40% des ventes de bandes dessinées. Les élèves en sont particulièrement friands et en tant qu'adultes nous avons souvent une image négative, légitimes dans la mesure où des polémiques sont nées à leur arrivée à cause de la grande violence et de l'érotisme déplacé de certaines séries. Or, le marché des mangas est très vaste et de nombreuses séries de qualité existent. Il n'est plus questions pour des professionnels de la culture et de l'éducation de boycotter les mangas en tant que tels et il est crucial de former les élèves à une attitude critique vis à vis des mangas comme à l'égard de toute forme de lecture.

L'acquisition de compétences

En créant leur bande dessinée, les élèves ont acquis une distance par rapport au phénomène de mode et se sont approprié les codes visuels et narratifs propres à cet art. Ils ont mesuré la différence entre un manga et une BD européenne traditionnelle. Ils ont également appréhendé des notions de culture japonaise, indissociable du manga.

L'aventure continue

Devant le succès de l'atelier et à la demande des élèves, nous continuons l'atelier cette année. En effet, certains élèves du groupe précédent voulaient poursuivre l'expérience tandis que d'autres souhaitaient absolument s'inscrire. Les scénarios sont alléchants !